T'as trop chaud ?
Page 3 sur 3 • Partagez
Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
Re: T'as trop chaud ?
La bataille de l'eau entre la Turquie et l'Irak
02/01/2019
Par Christian Chesnot
[url=https://twitter.com/intent/tweet?lang=fr&text=La+bataille+de+l%27eau+entre+la+Turquie+et+l%27Irak via @franceculture&url=https://www.franceculture.fr/geopolitique/la-bataille-de-leau-entre-la-turquie-et-lirak&related=franceculture][/url]
En 2018, l’Irak a connu sa pire sécheresse depuis 8 ans. Un phénomène climatique aggravé par la construction de barrages en Turquie, pays en amont qui contrôle les sources du Tigre et de l’Euphrate.
Réservoir d'eau à sec dans la région de Najaf, en Irak, en juillet 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP
La Turquie a la clé du robinet d’eau qui s’écoule vers la Syrie et l’Irak. Les Turcs contrôlent les sources du Tigre et l’Euphrate, les deux grands fleuves qui irriguent la Mésopotamie depuis la nuit des temps.
Dans une position géographique inconfortable de pays aval, l’Irak subit "l’hydropolitique hégémonique" d’Ankara, qui depuis une trentaine d’années construit d’innombrables barrages dans le cadre de son projet du GAP (Great Anatolian Project).
Pour Fadi Comair, ancien directeur de l’Office du fleuve Litani au Liban et membre de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, "les deux pays en aval, la Syrie et l’Irak, sont directement affectés par la gestion unilatérale de la Turquie."
Un arrangement avait été conclu entre Ankara et Bagdad pour que la mise en eau de l’ouvrage soit réalisée de manière progressive. Or, cela n’a pas été le cas. La Turquie a pris la décision de faire un remplissage de 4 milliards de m³ plus rapide que prévu.
Les conséquences ont été dramatiques sur la population irakienne, l’environnement, la faune et la flore. Le gouvernement de Bagdad a dû suspendre la culture du riz, du maïs et d’autres céréales. Faute d’eau suffisante dans le sud de l’Irak, les troupeaux ont diminué de 30% par rapport à l’année dernière. Pire : des émeutes de la soif ont éclaté à Bassorah.
Hassan Janabi, ex-ministre irakien des ressources hydrauliques, pointe du doigt Ankara : "Depuis deux ans, nous enregistrons une baisse du débit d’eau qui pénètre dans notre pays à cause de barrages construits par la Turquie et plus récemment par l’Iran. Tous ces ouvrages ont été réalisés sans _aucune consultation avec l’Irak_. Et nous n’avons aucune information sur leur fonctionnement. Donc nos voisins gèrent ces barrages selon leurs seuls besoins, sans prendre en compte les besoins de l’Irak."
Le lit d'une rivière asséchée à Umm Abbasiyat en Irak, en juillet 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP
Côté turc, on refuse d’être placé au banc des accusés. "La Turquie n’a aucun agenda secret dans ce domaine, se défend Ozgür Cinar, diplomate turc. Tout ce que nous faisons est clair et transparent. Si des officiels irakiens ont une position problématique avec la construction des barrages en Turquie, ils n’ont qu’à venir partager leur avis, leurs idées et leurs besoins avec nous."
L’un des principaux points de discorde entre la Turquie et ses voisins arabes concerne le statut juridique du Tigre et l’Euphrate. Ankara refuse de les considérer comme des fleuves internationaux, ce qui lui imposerait des contraintes.
Des tonnes de poissons morts sur les bords de l’Euphrate, en Irak, en novembre 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP
Pour Fadi Comair, la solution serait de créer des agences de bassin au sein desquelles les pays riverains seraient tous représentés et mettraient en place une gestion concertée. "L’eau doit servir de moteur pour construire une paix économique entre la Turquie et ses voisins, explique-t-il. La question est clairement posée : utilise-t-on l’eau pour la paix ou pour se faire la guerre ?"
Dans le contexte de réchauffement climatique actuel, le Moyen-Orient est en première ligne. La région souffre déjà de stress hydrique. Si l’eau n’est pas répartie de manière équitable et utilisée de façon raisonnable, conformément aux principes posés par l’ONU, "nous verrons alors augmenter le nombre de réfugiés climatiques qui s’ajouteront aux réfugiés politiques."
02/01/2019
Par Christian Chesnot
[url=https://twitter.com/intent/tweet?lang=fr&text=La+bataille+de+l%27eau+entre+la+Turquie+et+l%27Irak via @franceculture&url=https://www.franceculture.fr/geopolitique/la-bataille-de-leau-entre-la-turquie-et-lirak&related=franceculture][/url]
En 2018, l’Irak a connu sa pire sécheresse depuis 8 ans. Un phénomène climatique aggravé par la construction de barrages en Turquie, pays en amont qui contrôle les sources du Tigre et de l’Euphrate.
Réservoir d'eau à sec dans la région de Najaf, en Irak, en juillet 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP
La Turquie a la clé du robinet d’eau qui s’écoule vers la Syrie et l’Irak. Les Turcs contrôlent les sources du Tigre et l’Euphrate, les deux grands fleuves qui irriguent la Mésopotamie depuis la nuit des temps.
Dans une position géographique inconfortable de pays aval, l’Irak subit "l’hydropolitique hégémonique" d’Ankara, qui depuis une trentaine d’années construit d’innombrables barrages dans le cadre de son projet du GAP (Great Anatolian Project).
Pour Fadi Comair, ancien directeur de l’Office du fleuve Litani au Liban et membre de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, "les deux pays en aval, la Syrie et l’Irak, sont directement affectés par la gestion unilatérale de la Turquie."
Recep Tayyip Erdogan, le président turc maîtrise les sources d'eau en Mésopotamie• Crédits : Adem Altan - AFPCouper l'eau, mettre à genou un pays, essayer d’étrangler ses citoyens, est une pratique qui va conduire à plus d’extrémisme politique.
Fadi Comair, également organisateur d’un colloque au Sénat en décembre sur le thème"Hydro-diplomatie et changement climatique pour la paix en Mésopotamie".
Émeutes de la soif à Bassorah
L’Irak a connu des moments très difficiles en juin dernier à cause du remplissage du barrage d’Ilisu, sur le Tigre, dans l’est de la Turquie, situé à environ 70 km de la frontière irakienne. L’ouvrage doit permettre l’irrigation de 200 000 hectares agricoles.Un arrangement avait été conclu entre Ankara et Bagdad pour que la mise en eau de l’ouvrage soit réalisée de manière progressive. Or, cela n’a pas été le cas. La Turquie a pris la décision de faire un remplissage de 4 milliards de m³ plus rapide que prévu.
Les conséquences ont été dramatiques sur la population irakienne, l’environnement, la faune et la flore. Le gouvernement de Bagdad a dû suspendre la culture du riz, du maïs et d’autres céréales. Faute d’eau suffisante dans le sud de l’Irak, les troupeaux ont diminué de 30% par rapport à l’année dernière. Pire : des émeutes de la soif ont éclaté à Bassorah.
Hassan Janabi, ex-ministre irakien des ressources hydrauliques, pointe du doigt Ankara : "Depuis deux ans, nous enregistrons une baisse du débit d’eau qui pénètre dans notre pays à cause de barrages construits par la Turquie et plus récemment par l’Iran. Tous ces ouvrages ont été réalisés sans _aucune consultation avec l’Irak_. Et nous n’avons aucune information sur leur fonctionnement. Donc nos voisins gèrent ces barrages selon leurs seuls besoins, sans prendre en compte les besoins de l’Irak."
Le lit d'une rivière asséchée à Umm Abbasiyat en Irak, en juillet 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP
L’eau pour faire la guerre ou la paix ?
Aujourd’hui, l’Irak est un pays convalescent. "Nous avons connu tant de guerres et de destructions, constate Hassan Janabi. Nos infrastructures ont été quelque peu négligées, et puis, il y a eu les destructions causées par le groupe Etat islamique à partir de 2014, et ce, jusqu’à ce que nous libérions notre terre de son emprise."Côté turc, on refuse d’être placé au banc des accusés. "La Turquie n’a aucun agenda secret dans ce domaine, se défend Ozgür Cinar, diplomate turc. Tout ce que nous faisons est clair et transparent. Si des officiels irakiens ont une position problématique avec la construction des barrages en Turquie, ils n’ont qu’à venir partager leur avis, leurs idées et leurs besoins avec nous."
L’un des principaux points de discorde entre la Turquie et ses voisins arabes concerne le statut juridique du Tigre et l’Euphrate. Ankara refuse de les considérer comme des fleuves internationaux, ce qui lui imposerait des contraintes.
Des tonnes de poissons morts sur les bords de l’Euphrate, en Irak, en novembre 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP
"Ce sont des eaux transfrontalières, assure Ozgür Cinar. Cela ne sert pas à grand-chose de qualifier ces fleuves d’internationaux. Pour nous, c’est la réalité qui s’impose. Avant de demander plus d’eau, nos voisins doivent aussi construire de bonnes infrastructures hydrauliques."Avant de demander plus d’eau, nos voisins doivent aussi construire de bonnes infrastructures hydrauliques.
Pour Fadi Comair, la solution serait de créer des agences de bassin au sein desquelles les pays riverains seraient tous représentés et mettraient en place une gestion concertée. "L’eau doit servir de moteur pour construire une paix économique entre la Turquie et ses voisins, explique-t-il. La question est clairement posée : utilise-t-on l’eau pour la paix ou pour se faire la guerre ?"
Dans le contexte de réchauffement climatique actuel, le Moyen-Orient est en première ligne. La région souffre déjà de stress hydrique. Si l’eau n’est pas répartie de manière équitable et utilisée de façon raisonnable, conformément aux principes posés par l’ONU, "nous verrons alors augmenter le nombre de réfugiés climatiques qui s’ajouteront aux réfugiés politiques."
Invité- Invité
Re: T'as trop chaud ?
Quelle tristesse de voir ces images. Décidemment la Turquie une grosse m.....de. sur tous les plans.
Invité- Invité
Re: T'as trop chaud ?
Quand on sait pas on ferme sa grande gueule! Oui monsieur c'est tonton qui voulait relancer les charbonnages de France!Diviciac a écrit:magicfly a écrit:
Et ben je ne vais pas perdre mon temps à chercher sur internet les conneries que tu racontes, mais à titre d'info j'ai travaillé sur les centrales en assistance technique EDF aux études du palier 600MW charbon de la tranche 4 du Havre construite en 1982 et les tranches 4 et 5 de Cordemais mise en service en 1983 et 1984, j'ai également travaillé sur les études de la désulfuration des fumées de ces tranches en 96.
Alors mon con quand on sait pas on ferme sa grande gueule!
Ch'ais pas , moi , je veux bien vous croire mais un gamin de cinq ans comprendrait que si vous avez mis votre grain de sel sur les tranches 4 et 5 c'est que les 1,2,et 3 existaient déjà donc que prétendre que "tonton a décidé de construire les grosses centrales du Havre et de Cordemais" est absurde puisqu'elles existaient déjà.
Faites un effort pour vous exprimer correctement si vous voulez qu'on vous comprenne, dites qu'il les a "agrandies" , "modernisées" qu'il en a "augmenté la capacité de production" .. Un truc vrai, quoi ..
Au XIX siècle les centrales charbon existaient et tonton n'était pas né: Ouaf! On pourrait aussi construire un autre château de Versailles puisqu'il existe déjà!
T'es vraiment trop con pour comprendre qu'une tranche monsieur je sais tout, c'est une nouvelle usine avec de nouvelles techniques, des nouvelles machines, implanté à coté de vieilles tranches en fin de vie.
Pour étayer, j'ai aussi travaillé sur la vieille centrale de Cheviré qui était au fioul : ça faisait partie de la relance charbon de tonton. On a remis en service le vieux parc charbon abandonné à la fin des années 50 quand ils l'ont passée au fioul, remis en service les convoyeurs, les broyeurs, changé les injecteurs des chaudières, tout ça pour que finalement la centrale soit définitivement fermée et démantelée qqes années plus tard! Ça aussi c'est à mettre au débit de tonton!
Invité- Invité
Re: T'as trop chaud ?
Zerbinette a écrit:La bataille de l'eau entre la Turquie et l'Irak
02/01/2019
Par Christian Chesnot
[url=https://twitter.com/intent/tweet?lang=fr&text=La+bataille+de+l%27eau+entre+la+Turquie+et+l%27Irak via][/url]
En 2018, l’Irak a connu sa pire sécheresse depuis 8 ans. Un phénomène climatique aggravé par la construction de barrages en Turquie, pays en amont qui contrôle les sources du Tigre et de l’Euphrate.
Réservoir d'eau à sec dans la région de Najaf, en Irak, en juillet 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP
La Turquie a la clé du robinet d’eau qui s’écoule vers la Syrie et l’Irak. Les Turcs contrôlent les sources du Tigre et l’Euphrate, les deux grands fleuves qui irriguent la Mésopotamie depuis la nuit des temps.
Dans une position géographique inconfortable de pays aval, l’Irak subit "l’hydropolitique hégémonique" d’Ankara, qui depuis une trentaine d’années construit d’innombrables barrages dans le cadre de son projet du GAP (Great Anatolian Project).
Pour Fadi Comair, ancien directeur de l’Office du fleuve Litani au Liban et membre de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, "les deux pays en aval, la Syrie et l’Irak, sont directement affectés par la gestion unilatérale de la Turquie."Recep Tayyip Erdogan, le président turc maîtrise les sources d'eau en Mésopotamie• Crédits : Adem Altan - AFPCouper l'eau, mettre à genou un pays, essayer d’étrangler ses citoyens, est une pratique qui va conduire à plus d’extrémisme politique.
Fadi Comair, également organisateur d’un colloque au Sénat en décembre sur le thème"Hydro-diplomatie et changement climatique pour la paix en Mésopotamie".Émeutes de la soif à Bassorah
L’Irak a connu des moments très difficiles en juin dernier à cause du remplissage du barrage d’Ilisu, sur le Tigre, dans l’est de la Turquie, situé à environ 70 km de la frontière irakienne. L’ouvrage doit permettre l’irrigation de 200 000 hectares agricoles.
Un arrangement avait été conclu entre Ankara et Bagdad pour que la mise en eau de l’ouvrage soit réalisée de manière progressive. Or, cela n’a pas été le cas. La Turquie a pris la décision de faire un remplissage de 4 milliards de m³ plus rapide que prévu.
Les conséquences ont été dramatiques sur la population irakienne, l’environnement, la faune et la flore. Le gouvernement de Bagdad a dû suspendre la culture du riz, du maïs et d’autres céréales. Faute d’eau suffisante dans le sud de l’Irak, les troupeaux ont diminué de 30% par rapport à l’année dernière. Pire : des émeutes de la soif ont éclaté à Bassorah.
Hassan Janabi, ex-ministre irakien des ressources hydrauliques, pointe du doigt Ankara : "Depuis deux ans, nous enregistrons une baisse du débit d’eau qui pénètre dans notre pays à cause de barrages construits par la Turquie et plus récemment par l’Iran. Tous ces ouvrages ont été réalisés sans _aucune consultation avec l’Irak_. Et nous n’avons aucune information sur leur fonctionnement. Donc nos voisins gèrent ces barrages selon leurs seuls besoins, sans prendre en compte les besoins de l’Irak."
Le lit d'une rivière asséchée à Umm Abbasiyat en Irak, en juillet 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFPL’eau pour faire la guerre ou la paix ?
Aujourd’hui, l’Irak est un pays convalescent. "Nous avons connu tant de guerres et de destructions, constate Hassan Janabi. Nos infrastructures ont été quelque peu négligées, et puis, il y a eu les destructions causées par le groupe Etat islamique à partir de 2014, et ce, jusqu’à ce que nous libérions notre terre de son emprise."
Côté turc, on refuse d’être placé au banc des accusés. "La Turquie n’a aucun agenda secret dans ce domaine, se défend Ozgür Cinar, diplomate turc. Tout ce que nous faisons est clair et transparent. Si des officiels irakiens ont une position problématique avec la construction des barrages en Turquie, ils n’ont qu’à venir partager leur avis, leurs idées et leurs besoins avec nous."
L’un des principaux points de discorde entre la Turquie et ses voisins arabes concerne le statut juridique du Tigre et l’Euphrate. Ankara refuse de les considérer comme des fleuves internationaux, ce qui lui imposerait des contraintes.
Des tonnes de poissons morts sur les bords de l’Euphrate, en Irak, en novembre 2018• Crédits : Haidar Hamdani - AFP"Ce sont des eaux transfrontalières, assure Ozgür Cinar. Cela ne sert pas à grand-chose de qualifier ces fleuves d’internationaux. Pour nous, c’est la réalité qui s’impose. Avant de demander plus d’eau, nos voisins doivent aussi construire de bonnes infrastructures hydrauliques."Avant de demander plus d’eau, nos voisins doivent aussi construire de bonnes infrastructures hydrauliques.
Pour Fadi Comair, la solution serait de créer des agences de bassin au sein desquelles les pays riverains seraient tous représentés et mettraient en place une gestion concertée. "L’eau doit servir de moteur pour construire une paix économique entre la Turquie et ses voisins, explique-t-il. La question est clairement posée : utilise-t-on l’eau pour la paix ou pour se faire la guerre ?"
Dans le contexte de réchauffement climatique actuel, le Moyen-Orient est en première ligne. La région souffre déjà de stress hydrique. Si l’eau n’est pas répartie de manière équitable et utilisée de façon raisonnable, conformément aux principes posés par l’ONU, "nous verrons alors augmenter le nombre de réfugiés climatiques qui s’ajouteront aux réfugiés politiques."
Batailles de l'eau qui pourraient déboucher sur des guerres.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: T'as trop chaud ?
magicfly a écrit:Quand on sait pas on ferme sa grande gueule! Oui monsieur c'est tonton qui voulait relancer les charbonnages de France!Diviciac a écrit:
Ch'ais pas , moi , je veux bien vous croire mais un gamin de cinq ans comprendrait que si vous avez mis votre grain de sel sur les tranches 4 et 5 c'est que les 1,2,et 3 existaient déjà donc que prétendre que "tonton a décidé de construire les grosses centrales du Havre et de Cordemais" est absurde puisqu'elles existaient déjà.
Faites un effort pour vous exprimer correctement si vous voulez qu'on vous comprenne, dites qu'il les a "agrandies" , "modernisées" qu'il en a "augmenté la capacité de production" .. Un truc vrai, quoi ..
Au XIX siècle les centrales charbon existaient et tonton n'était pas né: Ouaf! On pourrait aussi construire un autre château de Versailles puisqu'il existe déjà!
T'es vraiment trop con pour comprendre qu'une tranche monsieur je sais tout, c'est une nouvelle usine avec de nouvelles techniques, des nouvelles machines, implanté à coté de vieilles tranches en fin de vie.
Pour étayer, j'ai aussi travaillé sur la vieille centrale de Cheviré qui était au fioul : ça faisait partie de la relance charbon de tonton. On a remis en service le vieux parc charbon abandonné à la fin des années 50 quand ils l'ont passée au fioul, remis en service les convoyeurs, les broyeurs, changé les injecteurs des chaudières, tout ça pour que finalement la centrale soit définitivement fermée et démantelée qqes années plus tard! Ça aussi c'est à mettre au débit de tonton!
J'ai au moins réussi à vous faire progresser : tonton n'aurait pas "construit les centrales" au carbi du Havre et de Cordemais mais se serait contenté de "relancer" . Comment douter de ma pédagogie après un tel exploit ?
Bon, maintenant que c'est acquis, avant que vous boudiez, je vous engage à compter combien Hollande en a fait fermer, de ces centrales.
P.S Puisque vous y étiez si hostile, à ces centrales au charbon , on se demande pourquoi vous avez tant bossé
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: T'as trop chaud ?
Tiens bonne idée, je te colle au placard; pourquoi se fatiguer à instruire les cons? je n'ai pas vocation d'enseignant!Diviciac a écrit:magicfly a écrit:
Quand on sait pas on ferme sa grande gueule! Oui monsieur c'est tonton qui voulait relancer les charbonnages de France!
Au XIX siècle les centrales charbon existaient et tonton n'était pas né: Ouaf! On pourrait aussi construire un autre château de Versailles puisqu'il existe déjà!
T'es vraiment trop con pour comprendre qu'une tranche monsieur je sais tout, c'est une nouvelle usine avec de nouvelles techniques, des nouvelles machines, implanté à coté de vieilles tranches en fin de vie.
Pour étayer, j'ai aussi travaillé sur la vieille centrale de Cheviré qui était au fioul : ça faisait partie de la relance charbon de tonton. On a remis en service le vieux parc charbon abandonné à la fin des années 50 quand ils l'ont passée au fioul, remis en service les convoyeurs, les broyeurs, changé les injecteurs des chaudières, tout ça pour que finalement la centrale soit définitivement fermée et démantelée qqes années plus tard! Ça aussi c'est à mettre au débit de tonton!
J'ai au moins réussi à vous faire progresser : tonton n'aurait pas "construit les centrales" au carbi du Havre et de Cordemais mais se serait contenté de "relancer" . Comment douter de ma pédagogie après un tel exploit ?
Bon, maintenant que c'est acquis, avant que vous boudiez, je vous engage à compter combien Hollande en a fait fermer, de ces centrales.
P.S Puisque vous y étiez si hostile, à ces centrales au charbon , on se demande pourquoi vous avez tant bossé
Invité- Invité
Page 3 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» "A chaud" ...!
» Ni chaud, ni froid...
» Recueil de belles histoires
» Ca devient chaud!
» LA REUNION POINT CHAUD
» Ni chaud, ni froid...
» Recueil de belles histoires
» Ca devient chaud!
» LA REUNION POINT CHAUD
Page 3 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum