Le travail des enfants à l’âge industriel

[Invité]

« Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?

Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?

Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?

Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ;

Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement

Dans la même prison, le même mouvement

Accroupis sous les dents d’une machine sombre,

Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,

Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,

Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.

Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las… »

Victor Hugo

[chatouille]

Merci pour Hugo

[Nadou]

[Invité]

[Invité]

[Invité]

« Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?

Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?

Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?

Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ;

Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement

Dans la même prison, le même mouvement

Accroupis sous les dents d’une machine sombre,

Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,

Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,

Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.

Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las… »

Victor Hugo

Si l'on y pense un peu, les temps ont changé, grâce aux luttes syndicales, mais sur le fond les salariés ,sont toujours tributaires d'un patronat qui en veut toujours plus, aidé en cela des gouvernements successifs ultra libéraux.
Pour preuve :  les suicides au travail, sont révélateur d'une situation inhumaine en entreprise.

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