Re: Ne cherchez pas querelle à la Turquie” menace Erdogan ciblant Macron

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OTAN : Recep Tayyip Erdogan, un allié récalcitrant à la stratégie risquée

OTAN : Recep Tayyip Erdogan, un allié récalcitrant à la stratégie risquée (lemonde.fr)

Qui pour s'allier sans risque à Recep Erdogan déjà pour commencer dans son propre pays turc ? 

Avant de parler "OTAN" ou "UE" au départ d'Ankara par exemple ?

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Élections municipales : «Une victoire du camp Erdogan ancrerait la Turquie dans le conservatisme et le nationalisme»

Élections municipales : «Une victoire du camp Erdogan ancrerait la Turquie dans le conservatisme et le nationalisme» (msn.com)

Recep Tayyip Erdogan dans une Turquie qui a une séquence économique et monétaire qui empêche le voyage vers ailleurs ... et donc aussi vers l'UE et la France.

Bien des efforts municipaux pour avoir une vie domestique acceptable avant de pouvoir imaginer d'autres horizons. Recep Erdogan comme seul grand "voyageur" et donc comme "seul grand connaisseur" du reste du monde même en étant accompagné par "Madame".

Recep Erdogan avec des avis sur la situation étrangère à cette Turquie qui a peu d'informations sur cette autre réalité parfois aussi française et européenne. Recep Erdogan comme éternel "spécialiste" du "grand monde" et qui peut prolonger cette posture avec une Turquie scotchée chez elle d'abord. Recep Erdogan qui aurait peut-être bien de la peine à tenir ses mêmes discours sur "l'international" en France ou à Bruxelles. La faute à "l'étranger" aussi "occidental" pour la situation actuelle turque, ou aussi et tout de même Recep Erdogan et son inadaptation à une modernité assez peu connue des électrices et électeurs turques et turcs ? Les grosses difficultés turques aussi "à cause de l'étranger" grâce à cet isolement économique turc voulu peut-être un peu par Recep Erdogan pour pouvoir garder ainsi une première place aussi médiatique ?

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En Turquie, des élections municipales aux enjeux nationaux

En Turquie, des élections municipales aux enjeux nationaux | Les Echos

À Ordu, dans le nord du pays, il a lancé aux électeurs : « Avec nous, les villes ont du gaz naturel. Sans nous, il n'y en a pas ». Même rengaine à Hatay, ville dévastée par le séisme de l'an dernier, où le président a laissé entendre que les habitants avaient reçu moins d'aides parce que le maire est un opposant.

"Nous" en Turquie pour Recep Erdogan, et "je" à l'international pour le même.

La Turquie de Recep Erdogan a-t-elle une surface variable lorsque son président actuel réfléchit à ses propres intérêts ? L'attirance présidentielle quasi exclusive pour l'extérieur turc plonge-t-elle la nation ottomane dans une espèce d'isolement lorsque les municipalités doivent agir pour leurs besoins ?

Recep Erdogan est-il à ce point visible en Turquie uniquement grâce à une espèce de stature "internationale" qui n'est possédée que par le "président" ? Les Turques et les Turcs capables de sortir de leur nation de manière efficace et donc exemplaire sont-ils et elles des personnalités à bloquer depuis la présidence ? Faire continuellement plus de bruit en Turquie en dilatant une importance "internationale" depuis la présidence occupée par Recep Erdogan qui peut tout de même compter sur une population laborieuse même en période incertaine d'inflation par exemple.

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Municipales en Turquie : Erdogan reconnaît « un tournant » pour son camp, largement battu par l’opposition

Municipales en Turquie : Erdogan reconnaît « un tournant » pour son camp, largement battu par l’opposition (lemonde.fr)

Recep Erdogan, toujours le meilleur pour représenter son pays à l'étranger et donc aussi en France ?

La politique étrangère de cette Turquie newlook doit-elle plutôt partir des municipalités aussi turques qui se battent directement avec l'état réel du pays ? Bien sûr les grandes "manoeuvres" présidentielles de Recep Erdogan pour une "politique étrangère" assez tapageuse parfois, mais aussi et d'abord le niveau réel de la Turquie qui doit essentiellement retrouver ses bases aussi économiques et monétaires avant de "négocier" de façon assez peu ferme et claire avec "Vladimir Poutine". Epuiser la Turquie depuis sa présidence en imposant au peuple turc des espèces de contraintes issues des "obligations internationales" concoctées de façon "experte" par Erdogan et ses amies et amis peu concernés dans le fond par cette étonnante inflation turque.

Recep Erdogan pour cette position "au-dessus" de la Turquie, avec quelle réelle connaissance de l'extérieur turc ... et des communes de son pays pour commencer ?

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Turquie: des mesures face à la hausse des dépenses à crédit et à l’endettement

Turquie: des mesures face à la hausse des dépenses à crédit et à l’endettement (msn.com)

Une situation nationale turque avec une présidence aussi engagée dans le grand monde international. Une espèce de double Turquie avec Recep Erdogan très visible sur le plan international, et aussi existant dans son propre pays turc. Une Turquie qui varie assez fortement dans ses propres frontières, avec son président qui reste toujours le même en extérieur. Recep Erdogan surtout médiatisé en tant que personnage capable de jouer un rôle important sur la scène internationale tout en gérant de façon correcte la Turquie nationale.

La Turquie qui a donc une situation instable dans ses propres frontières, avec Recep Erdogan qui ne change pas son attitude en extérieur. Une sorte de première importance présidentielle turque pour l’étranger, avec les affaires nationales turques séparées des évolutions de Recep Erdogan à l’extérieur.

Une Turquie laborieuse qui a des séquences détachées de Recep Erdogan engagé prioritairement ailleurs et donc « à l’étranger ». Une inflation importante en Turquie même, pour une situation économique nationale difficile. Recep Erdogan en constance pour ce qui est de son parcours international. La Turquie avec deux volumes séparés. Des affaires internationales, et des affaires intérieures. La possibilité d’avoir une situation économique turque meilleure comme événement à attendre pour la population qui doit quand même suivre son président dans ses positions à l’étranger. La multiplicité des interventions de Recep Erdogan à l’étranger ou à propos de l’étranger provoque-t-elle une perte d’efficacité dans la Turquie même ? Si Recep Erdogan se coupait par exemple de Paris, la situation intérieure turque deviendrait-elle plus favorable ? Si Recep Erdogan renonçait à une visibilité américaine, l’économie turque remonterait-elle la pente ? Les agissements de Recep Erdogan sur la scène internationale sont-ils essentiellement porteurs de films pour une Turquie qui n’a pas de base suffisamment saine pour posséder un plan de redressement économique et financier ?

Recep Erdogan comme premier acteur dans quel premier film ?

Le film turc international, ou le film plus intimiste économique turc ? Quel autre acteur présidentiel turc pour remplacer Recep Erdogan dans son film international ?

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Turquie: Recep Tayyip Erdogan face au défi du redressement économique

Turquie: Recep Tayyip Erdogan face au défi du redressement économique (msn.com)

Le ministre turc des Finances, Mehmet Simsek, chargé par le président Erdogan de sortir la Turquie de sa crise inflationniste, est aux États-Unis ces jours-ci pour des réunions de haut niveau avec des investisseurs et les institutions financières internationales. Objectif : faire revenir les investissements étrangers qui ont fui le pays, condition indispensable au redressement économique. 

Etre séduit d'abord par Recep Erdogan ou plutôt par la Turquie pour investir par exemple à Istanbul ?

La France et donc l'UE comme entités un peu trop exigeantes pour la Turquie de Recep Erdogan qui passe toujours en premier dans toutes les affaires turques à l'étranger ? Les USA et la Russie avec aussi la Chine "moderne" comme "modèles" encore atteignables pour Recep Erdogan et l'avenir turc ?

Bien des visibilités turques parfois tapageuses au travers de Recep Erdogan à l'étranger, avec un état national économique turc qui n'a plus la même clarté qu'autrefois. Recep Erdogan avec quel bilan personnel aujourd'hui ? Des tactiques plus individualistes en Turquie pour Recep Erdogan et sa "famille" parfois aussi politique ?

La confiance qui part de Mehmet Simsek en direction de Recep Erdogan est-elle immédiate et sans comptabilité douteuse ?

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Guerre à Gaza : le chef du Hamas à Istanbul pour rencontrer Erdogan

Guerre à Gaza : le chef du Hamas à Istanbul pour rencontrer Erdogan (msn.com)

L'urgence en Turquie.

L'urgence présentée d'abord par Recep Erdogan qui a peut-être encore et toujours besoin de son joker israélo-palestinien pour maintenir sa première visibilité à Istanbul. Le joker international présidentiel turc comme urgence qui empêche la résolution plus rapide des premiers problèmes aussi économiques turcs. Le "hamas" comme importance comparable à l'ensemble des difficultés domestiques turques.
La moralité personnelle grâce à ce sujet israélo-palestinien qui permet une espèce de pureté présidentielle au milieu de bien des ennuis populaires financiers turcs. La sacrosainte poche médiatique israélo-palestinienne pour verrouiller une progression nationale même ailleurs qu'à Istanbul.

Se couper momentanément du reste du monde même français grâce au "hamas" et à la "guerre à Gaza" par exemple.
Rechercher des investisseurs "à l'étranger" depuis Istanbul en même temps que cette association "éternelle" entre Recep Erdogan et ces gens palestiniens utiles à la protection individuelle présidentielle turque. Le "Hamas" avec donc un lien qui porte assez peu d'attention aux souffrances aussi réelles turques. Une espèce de "solidarité" plus ou moins originelle entre le "Hamas" et la Turquie au travers de Recep Erdogan, mais surtout dans un seul sens ...! Gaza toujours et encore avant la Turquie pour Recep Erdogan.

Recep Erdogan avec une politique nationale turque toujours séparée de l'étranger grâce à cette alliance prioritaire avec "Gaza" et donc aussi avec Israël dans le fond. Puis donc les déclarations de Recep Erdogan en direction de l'UE ou de la France pour obtenir ce que "la Turquie mérite" ...!

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"Rien ne justifie ces prix" : des Turcs boycottent cafés et restaurants ce week-end

"Rien ne justifie ces prix": des Turcs boycottent cafés et restaurants ce week-end - Challenges

Turquie-Irak : Erdogan à Bagdad pour sa première visite depuis une décennie

La valeur turque chez elle, et la valeur présidentielle turque à l'étranger choisi par Recep Erdogan.

Une action citoyenne et donc plus privée que celle du gouvernement actuel mené par cette présidence de Recep Erdogan pour tenter d'avoir un socle économique turc perceptible.

Imaginer l'avenir turc sur une base qui n'est pas polluée par des déclarations tonitruantes présidentielles qui séparent la première réalité turque des éventuels investissements en provenance de l'étranger. Rester sur place même en tant que Turque ou Turc pour avoir enfin une stabilité aussi politique à Istanbul ou à Ankara par exemple. Se donner une valeur grâce à une visibilité présidentielle "à l'étranger" pendant que le reste du peuple doit suffoquer en avalant de temps en temps un loukoum de plus en plus sec ...!

Recep Erdogan pour avoir quelle nouvelle occasion pour tout le monde en Turquie ? La Turquie avec une volonté collective représentée par qui aussi en France ?      

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En Turquie, les jeunes diplômés de plus en plus tentés d’émigrer : « Moi aussi, je veux partir »

En Turquie, les jeunes diplômés de plus en plus tentés d’émigrer : « Moi aussi, je veux partir » (lemonde.fr)

Un "modèle" chinois, un "modèle" russe et donc aussi un modèle turc pour permettre l'exportation du pays de Recep Erdogan aussi en direction de la France et donc de l'UE.

Néanmoins la première urgence aussi pour la jeunesse nouvellement formée en Turquie qui est l'assainissement des finances et de l'économie du pays par exemple.

S'exporter soi-même depuis Ankara ou Istanbul, mais avec quelle base sûre et sereine et surtout honnêtement présentable d'abord ?

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La Turquie avec d'abord sa position asiatique même avec Recep Erdogan et ses voyages plus personnels.

La politique de Recep Erdogan avec ses résultats actuels aussi sur son propre sol, ferme-t-elle une porte entre l'Asie et la France et donc l'UE ? Regarder plus loin qu'Istanbul depuis Lyon ou Bruxelles en direction de l'Orient, mais avec une sorte de bouchon turc qui monopolise toute une attention et bien des énergies.

Azerbaïdjan, Géorgie, Arménie, mais aussi Tadjikistan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Turkménistan ou Kazakhstan par exemple, complétement séparés de la France par une Turquie présidentielle un peu dilatée tout de même. Se baigner dans la Mer Caspienne en été en passant d'abord par la Turquie de Recep Erdogan et de sa monnaie flottante.

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